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lundi 28 mars 2011

Et voilà le festival, c'est fini ! Petit retour sur les deux dernières soirées: La soirée Blues et la soirée Tout contre-basse




Et voilà, A Vaulx- Jazz la 24ème édition, c’est fini ! Le festival s’est clôturé par deux très belles soirées.
Tout d’abord, la soirée Blues, une des soirées les plus attendues et qui a le plus de succès chaque année auprès du public. On a pu entendre la belle Shakura S’Aida nous interpréter les titres de son dernier album « Brown Sugar » entourée de ses très bons musiciens : le fils de Kenny Neal à la batterie (Kenny Neal Jr), Andrew Stewart le bassiste au groove impeccable, le pianiste (Lance Anderson) qui alterne entre piano, roots et parfois accordéon. Il fait également les chœurs sur quelques chansons de Shakura et enfin l’étonnante guitariste Donna Grantis à l’allure très rock. Chaque chanson est marquée par des riffs qui restent dans les têtes après le concert. La guitariste passe facilement du blues au rock avec parfois des rythmiques funky, « à la Prince »… On voit toute l’ampleur de son talent lorsqu’elle improvise en solo. La voix de Shakura, puissante, digne des plus grandes chanteuses de rythm ‘ blues et de soul, nous émerveille et les chansons s’enchaînent trop vite. On reste sans voix et on en redemande ! La chanteuse montre une belle complicité avec les musiciens et avec le public surtout quand elle entrecoupe ses chansons de quelques notes d’humour en français. La soirée démarre fort !
Roy Gaines et son orchestre « Tuxedo Blues » ont poursuivi la soirée. Le groupe ressemble à un véritable Big Band et interprète des morceaux blues et d’autres beaucoup plus jazzy. Les amateurs de jazz sont séduits par la voix de crooner de Roy Gaines qui a entre autre travaillé avec Stevie Wonder et Aretha Franklin.
Deux concerts très différents avec un blues plus moderne qui se rapproche d’autres styles comme la soul, le funk et un blues peut-être plus classique pour terminer cette belle soirée !
Changement d’ambiance le dernier jour du festival avec une soirée plus intimiste que la veille. La contre-basse étaient à l’honneur avec en première partie les frères Moutin qui jouaient cette fois-ci en quartet sur la scène du centre Chaplin, accompagnés d’un pianiste et d’un saxophoniste. La complicité qui unit les jumeaux est évidente mais éclipse parfois un peu les deux autres musiciens. Le contre-bassiste Ron Carter termine la soirée. Il était accompagné d’un guitariste et d’un pianiste pour présenter les titres de son dernier album « Golden Stricker ». Jazz, Bossa… un moment vraiment magique où il suffit de fermer les yeux pour écouter toutes les notes et les variations de la contre-basse. Le musicien, qui a accompagné notamment Miles Davis, semblait très ému par les applaudissements chaleureux du public.
Voilà la 24ème se termine. On a pu découvrir ou redécouvrir le jazz mêlé à d’autres styles avec des soirées uniques, toutes aussi différentes les unes des autres ! Rendez-vous l’année prochaine donc pour la 25ème édition qui promet d’être encore plus belle et pleine de surprises !


jeudi 24 mars 2011

Retour sur la Soirée Jazz et Opéra d'hier au Centre Chaplin



uKanDanZ et la Maîtrise de Loire, tout ce qu’on aime :
La spontanéité et le pétillant d’Asnake Guebreyes au chant, qui bouscule notre oreille trop sage ;
Le mordant de Lionel Martin au saxo, qu’on garderait bien avec nous pour faire la fête ;
La touche de perfection de la batterie, avec Guilhem Meier, qui n’en fait jamais trop ;
Damien Cluzel à la guitare qui mène, soutient la danz, et le fait bien ;
Frédéric Escoffier au clavier, qui est toujours là, et assure, par temps de swing, rock ou musiques plus traditionnelles ;
Quant aux 30 choristes, ils nous mettent la chair de poule, et accompagnent uKanDanZ avec une justesse digne de pro !
Dommage que la transe n’ait pas contaminée le public… concert et danses auraient fait une bien belle rencontre !

Lauriane A.

La musique de ce projet Ukandanz a fait du mélange sa recette, il aurait d’ailleurs très bien pu être programmé autant dans une soirée rock que jazz et opéra : on compte leurs influences parmi la musique traditionnelle éthiopienne tant par le chanteur Asnaqé Guèbrèyès que par les reprises traditionnelles réinterprétées par l’ensemble du groupe ; le rock qu’assure une batterie énergique et toute en puissance ainsi que certains riffs de guitare; une touche classique assurée par le chœur de la maîtrise de la Loire et bien sûr le jazz que représente au mieux le style « apiculturé » du saxophoniste. D’autres influences doivent certainement pouvoir se trouver…
Hormis cette explosion de couleurs musicales qui remplissent les oreilles, leur présence scénique forme également un sacré spectacle visuel. Ils manifestent une énergie incroyable : Asnaqé Guèbrèyès n’hésite pas à incorporer le rythme par des mouvements de danse éthiopienne qui consiste pour le profane à faire bouger les muscles pectoraux par des secousses impulsées des épaules. Le saxophoniste se balade également sur toute la scène, fait chavirer son sax de haut en bas et entre en interaction au hasard avec la danse du chanteur. Le chœur, loin de rester une armée de petits soldats, entre dans le jeu quand il se met en branle et saute en rythme pour accompagner les pulsations que lance le groupe.
Il en résulte une vraie fusion des genres qui fait naître une musique d’un style inclassable et assez neuf. La circonspection a pu se faire ressentir dans la salle justement parce qu’il ne devait certainement pas répondre aux attentes formulées par le public quant à l’intitulé Jazz et opéra. En dehors des perplexes, ils ont réussi à en enthousiasmer d’autres spectateurs qui n’hésitèrent pas à se lever pour aller danser devant la scène… ce qu’inspire indéniablement l’énergie de leur musique et des musiciens.
Une sacrée surprise !

La deuxième partie de soirée accueillait Enrico Rava et son quintet ainsi que le Quatuor Debussy. Si l’on peut se permettre, il ne s’est pas agi de la même formule de mélange : ce n’est pas celle de la fusion mais plutôt celle de la juxtaposition. Certes l’ensemble s’attaque au répertoire de la musique classique (Bizet, Puccini…) et en donne des arrangements originaux mais il n’est que de rares fois où l’ensemble des musiciens jouent ensemble. Le quatuor joue la partie classique et le quintet se cantonne aux parties jazz. Chacun reste chez soi, dans sa patrie musicale et les incursions chez l’une et l’autre sont limitées. Alternativement les uns se font spectateurs des autres. Heureusement les musiciens, chacun dans leur style, sont très bons. Le quatuor, à titre d’exemple, est arrivé à capturer le souffle de la salle à maintes reprises : tous suspendus aux coups d’archets, nous retenions nos respirations. Mais après leur brillante participation rien ne prenait la suite : le projet ressemble plus à un échange de ping pong qu’à un réel syncrétisme.
La présence scénique d’Enrico Rava n’est pas dans le partage et la communication immédiate avec le public, il reste assez distant, regarde peu la salle…il invite à un intimisme froid. Ce qui ferait revisiter les éternels clichés sur les transalpins ! Son jeu certes bien exécuté ne fait ressortir ni interprétation très personnelle (l’émotion est mise sous clé) ni une recherche de quelque chose d’un peu neuf. L’originalité tient seule à l’idée de départ consistant à mêler jazz et opéra, mais le rendu de cette fusion souhaitée ne prend pas et on tombe de nouveau dans des formes somme toute assez vues et revues.

Pauline B.

mardi 22 mars 2011

Soirée Métisse du 17/03




Retour sur la première soirée du festival avec les interviews de quelques musiciens de Caravan Oriental, le projet du plus lyonnais des batteurs américains Sangoma Everett et quelques minutes des répèt du groupe.

Le festival ”A Vaulx Jazz” bat son plein - CULTURE - MUSIQUE - France 3 Régions - France 3

Le 19 mars était Rock au Centre Chaplin




La soirée a débuté avec le gagnant du tremplin Musiques actuelles Nickel pressing qui s'était produit trois jours plus tôt à l'école d'archi de Vaulx-en-Velin. Avec seulement une basse, une batterie, un violon et quelques machines le groupe lyonnais a su faire bouger la foule qui était plus nombreuse que prévue ce soir-là. The Chap a poursuivi la soirée avec leurs mélodies pop et leurs chorégraphies décalées, un très bon moment et une belle complicité avec le public et les fans de la première heure. Enfin, James Chance et le groupe Les Contorsions ont clotûré cette soirée Rock. L'icône du no-wave surnommé aussi le James Brown Blanc a fait son retour. Au saxo ou au roots, l'énergie et le groove étaient bien là !

Docteur Lester "Orphée" : plus de 800 enfants en délire au Centre Chaplin

La petite chronique de Mo
A Vaulx-gones à la rencontre d’Orphée...
mercredi 16 mars 2011 par Mo

Jazz à tout âge et à tous les étages à Vaulx-en-Velin.
Ils l’ont rencontré en classe, dans leur centre social, dans la rue, sur la place du marché, au conservatoire et dans les allées du Carré de Soie, les gamins de Vaulx-en-Velin savent le jazz sur le bout des oreilles... c’est leur berceuse préférée, ils tombent dedans tout-petits mais ont quand même droit à des louchées supplémentaires à chaque début de printemps ! Le festival A Vaulx Jazz leur fait même la part belle puisque depuis 24 ans, le premier concert à Charlie Chaplin leur est consacré.

La nouvelle édition n’a pas dérogé à la règle, ils étaient 800, élèves des écoles primaires vaudaises à participer ce 15 mars 2011, au concert-spectacle de Dr Lester le Big Band orphéologique !

Intelligemment adapté de la mythologie grecque par Rémi Gaudillat qui en est également le compositeur inspiré, ce conte musical a fait la conquête du jeune public encore plus sûrement que le joueur de flûte de Hammelin dans l’histoire éponyme...

Des lumières tantôt célestes, tantôt infernales, des monstres très cuivrés, une princesse inaccessible, un héros fragile, des dieux compatissants... ça fonctionne. Les musiciens anges ou démons font partie du voyage et les mômes suivent avec ravissement ces aventures, soutenant Orphée dans ses épreuves et criant "NON !!!" d’une seule voix lorsqu’il fait mine de se retourner.

Ceux que j’interroge me disent que c’était trop court, que le jazz c’est formidable, qu’ils ont inventé beaucoup d’images, que Cerbère avec ses trois têtes c’est un vrai méchant et que Orphée, ben... il est trop fort, quoi !


Orphée aux Enfers...Avec sa lyre en forme de trombone, et sa trombine d’ange musicien, Sylvain Thomas a conquis les écoliers en délire. La "patate" de ses compagnons de route a fait le reste : amoureux d’Eurydice, tremblants dans la barque de Charon, courageux contre Cerbère, parlant comme des dieux avec Hadès, ils sont l’énergie de la musique au service de l’imaginaire. C’est beau, c’est bon, et comme les gosses, on les suivrait bien encore un peu dans les forêts enchantées...

samedi 19 mars 2011

Nickel Pressing à l'Ecole d'Archi le 16 mars



Le groupe Nickel Pressing, gagnant du tremplin Musiques actuelles de Lyon ont enflammé l'école d'Archi de Vaulx-en-Velin le 16 mars dans le cadre du festival Hors-les-murs.
Retrouvez-les le 19 mars mais cette fois-ci sur la scène du Centre Chaplin pour la soirée Rock du festival en première partie de The Chap et de James Chance et les Contorsions.

vendredi 18 mars 2011

Présentation de saison: reportages sur TLM

Interview de Thierry Serrano:le directeur du festival A Vaulx-Jazz était l'invité du 12/13 de France 3 et a fait la présentation de la 24ème saison du festival.



Présentation de la programmation du festival Hors-les-Murs par Charlène Mercier le 25février au Conservatoire de musique de Vaulx-en-Velin suivi de quelques minutes du concert des 3 canards.

lundi 14 mars 2011

"Improvisations 2010": Expo sur la terrasse du Centre Chaplin

Cette année, le festival A Vaulx-Jazz s’ouvre à d’autres formes d’arts. En effet, en entrant au Centre Chaplin, vous pourrez découvrir, avant d’assister aux concerts, une expo de peintures située sur la terrasse. Ces peintures contemporaines ont été réalisées l’été dernier dans le cadre du festival Jazz à Vienne. Chaque artiste avait pour défi de réaliser pendant les soirs de concerts une toile en une heure. Le Centre Chaplin a pu obtenir ces toiles qui seront exposées durant les deux semaines de festival.

Ce soir, c'est le premier concert du festival à Vaulx Jazz 2011 au Centre Chaplin. Et par hasard, avant le spectacle, je me retrouve avec des amis sur la terrasse surplombant la salle, un verre à la main, entourée de peintures. "Elles ont été faites pendant le festival Jazz à Vienne. Les artistes avaient une heure pour peindre un tableau durant un concert". Ah.

Je ne suis pas une experte en peintures ou en art. Je ne sais pas vraiment quoi penser de la peinture contemporaine non plus. En regardant autour de moi, je me dis que comprendre la signification qu'a voulu donner l'artiste à ses toiles est assez difficile. Certaines de ces improvisations que j'ai sous les yeux me paraissent même carrément obscures. Tiens, j'arrive tout de même à distinguer un personnage sur celle-ci, ou une inscription sur celle-là. Mais je n'en reste pas là. Je veux moi aussi, comme les artistes qui les ont peintes, donner un sens à ces peintures. Dans la musique jazz ambiante qui précède le concert, j'improvise une interprétation de ces toiles. Je m'imagine sur les lieux au moment de leur confection. J'essaie de les interpréter, de les comprendre à l'aide de ma mise en situation : comme si moi aussi, j'étais présente à ce concert durant lequel elles ont été peintes.

Un peu comme Diderot dans ses Salons, je déambule, je regarde les tableaux, je les observe, je les analyse et j'essaie de leur trouver un sens. Tiens, on pourrait imaginer que les toiles illustrent la progression d'une mélodie. Celle-là, blanche, pourrait illustrer le moment qui précède le commencement de la musique : les ronds tracés, entrelacés, pourraient montrer l'attente, le piétinement des spectateurs qui "tournent en rond", et qui ne sortent pas de leur léthargie avant le début de la mélodie. Et puis, le concert commencerait, et la musique monterait petit à petit en puissance. Certaines toiles me paraissent plus violentes, plus dures. Comme si la musique s'emballait. Il y en a une, on dirait qu'elle représente une scène de guerre. En bas, un personnage semble regarder la scène. Ce personnage, c'est un peu moi, devant ces peintures : la mise en abyme est parfaite. Moi aussi, j'observe cette puissance non contenue, cette violence, mais contrairement au personnage, ma violence à moi est comprise dans les sons et les paroles. Et puis, la chanson évoluerait encore, et ce serait l'accalmie. La musique se ferait plus douce et moins violente. La quiétude, en quelque sorte. Les couleurs de la peinture qui semble représenter une ville et son reflet sont différentes. Elles m'apaisent. Le reflet de la musique sur l'eau pourrait être comparé au reflet de la musique sur le spectateur, et aux impressions que celle-ci lui transmet et lui fait ressentir. Finalement, à l'empreinte que la musique peut avoir sur le spectateur, au même titre que l'empreinte, la marque, que la ville a sur l'eau.

Cette signification, c'est moi qui la donne à l'oeuvre. Je fais vivre cette dernière avec mon interprétation, je lui donne un sens, qui peut être ne se retrouvera pas chez les autres personnes qui l'observeront. Finalement, je me rends compte qu'il ne faut pas que j'essaie de comprendre ce qu'a voulu faire l'artiste, mais plutôt que je réfléchisse, en d'autres termes que j'improvise, ma propre conception de la toile, avec mon état d'esprit lorsque je la regarde. On m'appelle, le concert commence.

Pauline D.

Cette toile représente le reflet des immeubles d’une ville qui se dessine dans l’eau. On a l’impression de voir une ville inversée comme si l’artiste voulait rappeler que le jazz prend naissance dans les coins les plus reculés, dans les bas-fonds et que c’est une musique qui renverse tous les codes. On passe des couleurs jaune-orange au rouge. Le jazz est « dans le rouge » et les couleurs chaudes expriment l’idée de liberté, de spontanéité et le côté chaleureux de cette musique joyeuse, ensoleillée, qui est faite pour danser. Les couleurs rappellent aussi les origines du jazz, l’Afrique, la terre. L’artiste a peut-être voulu rappeler le conflit entre les Blancs et les Noirs (une tâche de noir à gauche et une de blanc à droite) qui s’est terminé dans le sang. Les tâches se mêlent au centre du tableau comme pour montrer un équilibre, une harmonie, la fin des tensions. Le rouge et le jaune rappellent aussi le soleil couchant, la musique commence quand le jour décline.

On voit un cercle ou un tourbillon qui peut nous faire penser à l’image du vent et du souffle ou de la fumée. On retrouve constamment dans le jazz des instruments à vent. C’est une musique qui reprend les mêmes thèmes sans structure et qui se renouvelle à chaque fois. L’image du tourbillon exprime le mouvement, le dynamisme, l’énergie du jazz. L’artiste a dessiné une sorte de gribouillage comme pour dire que le jazz est une musique d’impro qui part un peu dans tous les sens, qui n’est pas toujours écrite à l’avance. On ne peut pas dire comment elle va se terminer. La forme ronde et la couleur blanche rappelle aussi les champs de coton ou bien l’idée que c’est une musique qui sort des tripes. C’est une musique qui fait rêver, qui provient de l’âme et/ou des substances illicites…

Victoria R.

Vienne Action Culturelle

vendredi 11 mars 2011

Le festival, c'est pour bientôt !





Les préparatifs pour A Vaulx Jazz vont bon train. Signe du commencement imminent du festival, des "bonshommes-guitare" se sont invités sur la façade du Centre Charlie Chaplin !
Après que plusieurs évènements se sont déroulés jusqu'à présent hors-les-murs, le festival A Vaulx Jazz commencera dès la semaine prochaine. La programmation s'annonce prometteuse, avec plusieurs soirées spéciales, comme une soirée blues, une soirée rock ou une soirée métisse. Vous pourrez aussi partager des moments en famille ou entre amis hors du Centre, comme des casse-croûtes ou des séances de cinéma, pour encore prolonger le festival dans la ville de Vaulx-en-Velin ! Pleins de beaux moments en perspective !

Bon festival à tous !

jeudi 10 mars 2011

Ambiance exotique au Mas du Taureau avec Pawolka !





Rythmes afro-caribéens, ambiance roots, percussions...
Tous les ingrédients étaient réunis hier soir pour passer un bon moment en compagnie du groupe Pawolka, tout en dégustant des spécialités exotiques faites par les habitants du quartier !

La Fanfare de la Touffe entre en scène !




La Fanfare de la Touffe, composée d'une cinquantaine d'amateurs, a défilé le vendredi 4 mars, pendant l'après-midi, dans les rues de Vaulx-en-Velin. Pour la plupart d'entre eux, souffler dans un instrument à vent était une première : ne cherchez pas un rendu parfait, le but était avant tout de passer un moment convivial !

Même France 3 en parle:

mercredi 2 mars 2011

Edito

Bienvenue pour cette nouvelle édition du festival A Vaulx-Jazz ! Déjà la 24ème édition !
Cette année encore, la ville de Vaulx-en-Velin va vibrer au rythme du jazz pendant un mois de concerts et de festivités en tous genres. C’est parti pour un voyage musical à travers le monde ! Cette année encore, la programmation est très originale et éclectique avec une soirée métisse tournée vers l’Afrique, une soirée rock, une soirée blues, une soirée mêlant deux genres à priori très éloignés : le jazz et l’opéra, et bien d’autres… !
De nombreux artistes venus des quatre coins du monde vont se succéder sur la scène du Centre Culturel Charlie Chaplin du 15 au 26 mars. Ce sera l’occasion de voir sur scène et d’entendre des grandes figures du jazz comme Ron Carter, Roy Gaines, Anne Ducros… mais aussi de découvrir des artistes de la scène lyonnaise comme le groupe N’Relax et de nouveaux talents prometteurs comme le groupe Nickel Pressing, gagnant du tremplin Musiques actuelles.
Mais A Vaulx-Jazz, c’est aussi de nombreuses festivités dans la ville de Vaulx-en-Velin, à Lyon et dans son agglomération qui ont commencé le 28 février avec le concert de Sangoma Everett à l’Apostrophe. Apéro-Jazz, défilés avec une fanfare d’amateurs…et aussi des soirées cinéma.
Nous suivrons avec vous les évènements qui vont se dérouler au Centre Culturel Charlie Chaplin et hors-les-murs. Ce blog est là pour vous offrir un autre regard, un peu décalé sur le festival. Vous pourrez retrouver des vidéos, des photos, des articles sur les soirées, les réactions du public et des artistes, des interviews de l’équipe du centre…
Vous pourrez découvrir aussi l’envers du décor, tout ce qui se cache derrière la magie du spectacle et les paillettes, bref tout ce qui se passe avant et après le show !
Venez participer à ce blog et réagir en postant des commentaires !
Et on vous donne rendez-vous du 15 au 26 mars !